Rhapsodie

Chants de mort et d’amour
cousus d’or et de tambour

Création 2021

je vais écrire

écrire jusqu’à ce que ta vie devienne musique

une musique qui fera rire et pleurer

qu’on entendra dehors et dedans

que je chanterai le plus loin possible

sans frémir sans hésiter

à pleine voix

une musique qui ouvrira les cœurs

le cœur des fous, des fous de vélo,

des fous à lier, à enfermer, à libérer,

une hymne pour les vivants

et pour les morts

une rhapsodie

cousue d’or

et de tambour

L’ÉQUIPE

MURIELLE HOLTZ : écriture, composition, claviers, chant
FANNY BOUTEILLER : basse, contrebasse
AXEL PERNEY : batterie
Prises de son : Hervé Freguis
Mixage : GuyrOOts / studiomatik
Peinture : Bernard Le Nen / www.bernard-le-nen.com
Graphisme : Estelle Mure / www.labeleco.net
Production Bouge Tranquille / Coproduction : Art Scène
Aides et soutien : Conseil Départemental du Gard, Région Occitanie, Drac Occitanie, Filature du Mazel

« L’artiste nous impressionne par sa présence, sa large tessiture vocale et son timbre profond. Murielle Holtz incarne la liberté. Elle possède un grain de folie magnifiquement représenté par le visuel de ce disque. L’artiste a décidé d’enregistré un live sauvage le premier jour du reconfinement, grand bien nous fasse. Le trio basse-batterie-clavier y prouve encore son efficacité dans un jazz libre, totalement décomplexé. On ressent la complicité entre les musiciens, chacun se laissant un bel espace. En guise de mise en bouche j’écris expose sa boulimie d’écriture dès que quelque chose la secoue, de colère ou de joie. S’ensuivent des émotions diverses aux confins du surréalisme. Ça groove, ça bouge, ça scat, ça s’émeut, libère, idéal par les temps qui courent. » Francofans / Stéphanie Berrebi

« Il s’agit bien d’une Rhapsodie à la fois poème récité et pièce musicale spécifique, composés de thèmes juxtaposés, de forme libre. Les textes sont souvent parlés et la voix chantée devient instrument lorsque Murielle Holtz à l’impressionnante présence vocale, squatte, improvise en liberté. » Hexagone / Michel Gallas